Le journaliste lyonnais Christophe Chabert connait bien Alexandre Astier, pour l'avoir suivi depuis de nombreuses années, et bien sûr pour avoir participé à Kaamelott, en réalisant les documentaires et interview des DVD de la série. Alors quand il interroge l'interprète du Cantor pour le Petit bulletin, les questions sont justes et les réponses sincères. En plus de disserter sur la façon de faire Que ma joie demeure, Alexandre Astier révèle que le tournage de David et madame Hansen a été le théâtre de «&nbps;plein d'accidents […] des accidents profonds » artistiquement parlant. Pour ce qui est de Kaamelott aussi, il accepte de développer les démarches contractuelles qui l'occupent actuellement : plus que de simples signatures, il dit buter sur le degré de liberté qu'il peut acquérir sur son œuvre. Enfin, il émet le souhait de publier plus régulièrement lui-même des petites choses sur Youtube.