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dimanche 16 novembre 2008

Home sweet home : bande-annonce et critiques

Mercredi sortira en salles le film Home sweet home, de Didier le Pêcheur, avec Patrick Chesnais et Judith Godrèche entre autres. Dans ce film, Alexandre Astier campera le rôle d'un policier, excellant dans son métier, mais pathétique lorsqu'il se taille un costume de séducteur. Voici l'histoire et la bande-annonce du film :

Un secret de famille, c'est une bombe à retardement. Albert et Gédéon, anciens soixante-huitards, forment depuis trente ans un "couple" tout à fait original : de caractères foncièrement opposés, ils partagent la même maison depuis la disparition de la femme d'Albert. Lorsque Claire, la fille d'Albert, vient se ressourcer auprès de ses "parents" après deux ans de silence radio et quelques galères sentimentales, elle ne va pas trouver le réconfort qu'elle attendait : ce trio familial atypique va voir ressurgir les secrets d'un passé Flower Power mis à jour par un flic, aussi fin limier que séducteur pathétique...

Quelques critiques sont déjà parues à propos du film. Bonne pour Le figaro magazine :

Patrick Chesnais et Daniel Prévost forment un duo de choc face à celui, drôlissime, formé par Raphaël Lenglet et Alexandre Astier (Kaamelott). Les seconds rôles sont parfaits. Une comédie de mœurs caustique et bien ficelée.

Sophie Bénamou, du magazine Studio est beaucoup plus mitigée, mais ne tarit pas d'éloges envers Alexandre Astier ! Merci à Lucile de m'avoir envoyé cet extrait de la critique :

Les films ne sont pas toujours ce qu'ils semblent être. On croit que Judith Godrèche est l'héroïne de Home Sweet Home, que le duo Chesnais-Prévost sera aussi savoureux que secondaire et que le rôle du flic bougon imparti à Alexandre Astier sera de l'ordre du caméo, et on à tout faux. La faute à Astier le ténébreux. Impossible de lutter contre sa dégaine à la Tonton flingueur, ses répliques au Flytox, la bataille est perdue d'avance. On ne peut pas dire, pourtant, qu'il soit transcendé par la mise en scène, elle sent la charentaise à plein nez. Mais même filmé par un tubard, éclairé au néon d'hôpital, ce type-là s'en sortirait. Il n'y a plus qu'à s'incliner et à dire Monsieur.

Le Monde aussi salue la prestation d'Alexandre Astier, le journaliste allant jusqu'à nommer son article « Home sweet home : le roi Arthur devient policier » ! Extrait :

Alexandre Astier prouve de son côté qu'il est capable d'imprimer à n'importe quel personnage la diction et la figure désabusées qu'il a rôdées en jouant le roi Arthur dans la série Kamelott. C'est assez drôle et l'on voudrait bien le voir porter tout un film de cette façon.

Du coup, avec un rôle qui semble si intéressant, Alexandre Astier assurera une partie de la promotion du film :

Vu leur nombre, les passages promo d'Alexandre Astier sont repoussées dans la note suivante !

mardi 11 novembre 2008

Alexandre Astier raconte la Grande Guerre

Mise à jour du 11 novembre : C'est à voir ce soir !

À l'occasion du 90ème anniversaire de l'armistice de la 1ère guerre mondiale, France 2 diffusera le 11 novembre à 20h50 le documentaire 14-18, le bruit et la fureur. Dans ce film, la guerre est racontée à travers la vision d'un soldat, à qui Alexandre Astier a prêté sa voix. Voici la présentation du film par France 2 :

Tout est loin d’avoir été dit sur la « der des ders », sur l’histoire de cette immense tromperie, de ce gâchis infini. À travers le récit d’un soldat qui a traversé toute la guerre et qui parle aussi au nom de ses camarades, 14-18 le bruit et la fureur est un documentaire réalisé à partir d’images d’archives, pour la première fois, restaurées, colorisées et sonorisées. À rebours de la victimisation du soldat qui a longtemps prévalu, le propos de ce film est nouveau : la Grande Guerre a été entretenue par un consentement général. Ce sont des sociétés entières qui se sont jetées dans ce qu’elles pensaient être un combat de la civilisation contre la barbarie. Elles se sont ainsi engagées dans le premier massacre de masse moderne, sans avoir la moindre idée de ce qui les attendait. En suivant les analyses d’Annette Becker, l’un des chefs de file de ce nouveau courant historiographique, ce film donne une vision neuve de ce conflit dont l’ampleur, la violence, le caractère total ont à la fois préfiguré et engendré les tragédies du XXe siècle.

Isabelle Rapineau a réécrit le commentaire du film. Elle parle du choix de l'incarnation de la voix du soldat sur le blog « topolivres » :

Il fallait une voix pour charrier l'ensemble des tensions propres à la guerre de 1914-1918, la volatilité cauchemardesque des gaz autant que le souffle des obus. Il fallait une respiration apte à trouver son rythme dans l'enfer des canons de l'artillerie et le moelleux acide des chansons de poilus. Il fallait un tempérament propice à libérer le dynamisme prompt de ce jeune siècle où la vitesse se révélait. Capable aussi, dans le même temps, d'éprouver l'accent dérisoire de toute guerre d'un timbre incarné, métallique qui parfois se fragilise jusqu'à l'apnée. Alexandre Astier, le créateur de Kaamelott, est porteur de cette voix-là. Son sens de l'ellipse, toujours articulé à un châssis narratif d'une logique implacable, est pédagogique. C'est paradoxal, mais c'est ainsi. C'est l'un des charmes d'une écriture dont Kaamelott ne figure, à mes yeux, que la première épure.

J'ai beaucoup regardé Kaamelott en me demandant par quel magnétisme Alexandre Astier fait passer la poésie au milieu des gags avec un charisme digne des productions du Groupe Octobre. C'est sans doute que la poésie, shakespearienne, n'est nullement esquivée par l'auteur. Bien au contraire. Elle est acceptée comme telle, dans toute sa sauvagerie. Entraînée par la force d'attraction de la voix d'Alexandre Astier, elle s'exprime parmi les dialogues qu'il place dans la bouche de ses personnages jusque dans l'orgue dramatique du personnage principal, l'auteur lui-même, vers lequel tous les autres timbres se diffusent. A sa manière, Kaamelott est un opéra, tout en ondes et en tensions (rires et pleurs, foule et solitude).

Alexandre Astier, auteur autant que comédien, place sa voix dans le théâtre d'ombres de 14-18, trouve ses formulations à lui et améliore le texte, en goûtant le débit, percevant son rythme intime, corrigeant ses imperfections, magistralement. Avant Kaamelott, Astier avait "tourné" dans un spectacle théâtral sur 14-18 basé sur les lettres de poilus, Nous crions Grâce. Nous l'ignorions.

Le résultat s'entend dans la bande-annonce de France 2, ainsi que dans les quelques autres extraits que propose france2.fr dans une page consacrée au documentaire :

lundi 13 octobre 2008

Alexandre Astier de nouveau à Aix-les-bains

L'affiche de Scénaristes en sériesCe week-end, de vendredi à dimanche, se déroulera la troisième édition de la manifestation Scénaristes en séries à Aix-les-bains. L'an dernier, une diffusion de Kaamelott s'y était tenue, puis Alexandre Astier avait longuement traité du métier de scénariste. Des vidéos de l'évènement avaient à l'époque fini sur Youtube.

Le créateur de Kaamelott sera cette année encore présent à Aix. Vendredi 17 à 16h, il participera au centre des congrès à la conférence sur le thème « Les politiques de développement de la fiction en région Rhône-Alpes ». La région d'Alexandre Astier a en effet créé un pôle cinéma et fiction à Villeurbanne, appelé Pixel. L'endroit regroupera autour du Studio 24 des studios de tournage audiovisuel haute définition, un centre de formation des artistes et techniciens, et des bureaux dédiés aux professionnels de l'image, producteurs, diffuseurs et éditeurs. À l'initiative notamment de Joelle Sevilla, ce pôle ouvrira 2 nouveaux studios de tournage en janvier 2009.

Kaamelott a été un véritable moteur du projet. En choisissant de tourner les scènes intérieures de la série dans le Studio 24 de Villeurbanne, CALT a permis l'essor de l'activité cinématographique dans la région. Jean-Yves Robin, créateur de CALT et producteur de Kaamelott, sera aussi présent pour donner son point de vue.

Pour plus de renseignements, rendez-vous sur le site officiel de l'association Scénaristes en série.

vendredi 3 octobre 2008

Sur vos écrans cet automne

Les acteurs de Kaamelott regorgent de projet télé ou ciné pour les 2 mois qui viennent ! Faisons-en un petit tour d'horizon.

Je commence par une mini-série sans acteur principal de Kaamelott, mais que j'apprécie particulièrement. Ça s'appelle Palizzi, c'est réalisé par Jean Dujardin, et le rôle-titre est interprété par Arsène Mosca. Le même que celui qui a joué le chef des Maures dans Kaamelott ! Les épisodes de 3 minutes de la série rapportent, à la façon d'un documentaire, la vie d'un ancien mafieux qui vient de sortir de 15 ans de prison. Si je vous en parle, c'est que d'abord c'est bien, ensuite la 2ème saison commence le 6 octobre sur la cablée 13ème Rue, et enfin, Lionnel Astier est crédité pour un épisode de la saison (l'épisode 39 d'après Allociné) ! D'accord, c'est peu, mais même sans Lionnel Astier, la série vaut sûrement le coup d'oeil !

Un peu plus tard dans le mois, le 15 octobre, vous ne pourrez pas manquer la sortie de Coluche, l'histoire d'un mec. Réalisé par Antoine de Caunes, avec François-Xavier Demaison dans le rôle phare, Alexandre Astier y apparaîtra en tant que Reiser, le caricaturiste. On l'aperçoit dans la bande-annonce.

Un mois plus tard, Alexandre Astier sera de nouveau au cinéma, dans un rôle plus important du film Home sweet home de Didier Le Pêcheur, et avec Patrick Chesnais, entre autres. L'histoire est celle-ci :
Un secret de famille, c'est une bombe à retardement. Albert et Gédéon, anciens soixante-huitards, forment depuis trente ans un "couple" tout à fait original : de caractères foncièrement opposés, ils partagent la même maison depuis la disparition de la femme d'Albert. Lorsque Claire, la fille d'Albert, vient se ressourcer auprès de ses "parents" après deux ans de silence radio et quelques galères sentimentales, elle ne va pas trouver le réconfort qu'elle attendait : ce trio familial atypique va voir ressurgir les secrets d'un passé Flower Power mis à jour par un flic, aussi fin limier que séducteur pathétique...
Et Alexandre Astier est ledit flic ! On le voit dans la bande-annonce du film :

Si on reprend l'ordre chronologique, on arrive au film Bouquet final, le 5 novembre avec Anne Girouard. Un film comique dans l'univers des pompes funèbres ! Humour noir dans la bande-annonce à la fin de laquelle on aperçoit la Reine de Logres.

Anne Girouard, puisqu'il s'agit d'elle, a aussi tourné dans le premier court-métrage de Julien Despaux, Contre nature. On retrouve aussi dans ce cout-métrage Brice Fournier (Kadoc) et Philippe Nahon (Goustan le cruel). Pas beaucoup plus d'infos pour le moment...

Pas plus de communication non plus autour de Je suis parti de rien, le film de Xavier Gianolli dans lequel joue Brice Fournier... Il devait sortir le 22 octobre, mais le site officiel est encore vide, et Allociné n'annonce pas de date de sortie... Finalement, on sait plus facilement comment se portent les restaurants parisiens appartenant à Brice Fournier : plutôt bien, un troisième établissement venant d'ouvrir en face du premier !

Et bien évidemment, le 25 octobre sur Comédie!, l'évènement Hero Corp dont on vous rabat les oreilles sur ce blog !

En plus de tous les liens présents dans la note, quelques infos venaient d'On en a gros.

dimanche 21 septembre 2008

Double ration d'interview d'Alexandre Astier

Deux nouvelles interviews d'Alexandre Astier ont été publiées ces derniers jours :

La première, rapportée sur On en a gros a eu lieu pendant le festival Tours-Métrages. Elle est réalisée pour l'émission L'Autre Monde de la locale Radio Antenne Portugaise en Indre-et-Loir.

Alexandre Astier y parle du festival et de son implication dans celui-ci, et y livre des informations sur Kaamelott :

  • On avait eu des rumeurs de tournage à Brocéliande (pour le Livre VII...) qui n'étaient que des rumeurs.
  • Il reste des scènes à tourner, sur le lieu du rocher où est plantée l'épée.
  • Le Livre VI devrait être diffusé en janvier. Avant sa sortie, une avant-première sera organisée dans un cinéma (le grand rex ?), pour la presse et la chaîne, mais aussi pour les fans !

Vous pouvez écouter l'interview sur le lecteur qui suit :

La deuxième interview, signalée sur le forum officiel fait partie d'un article de 2 pages paru dans le Télé-Loisirs de la semaine dernière. On y trouve des révélations sur le Livre VI :

L'ambiance des passages à Rome, déjà : « L'Italie, c'est le pays du soleil, de la bonne bouffe et de la baise », dit Alexandre Astier. Ce qui nous amène à l'éducation sexuelle d'Arthur. C'est une romaine qui le séduira (sur ordre de Rome), et on connait maintenant l'actrice qui l'incarnera : Valeria Cavalli, une franco-italienne. Pour ce qui est de l'éducation philosophique d'Arthur, ce n'est ni plus ni moins que César (Pierre Mondy) qui la lui fera ! Quelques acteurs révèlent aussi ce que vont vivre leurs personnages dans cette saison.

À côté de l'histoire, on lit aussi des choses plus terre-à-terre :

Au début, j'avais conçu la série en 7 livres. Il y a quelques mois, en fait très peu de mois, nous avons fait le choix "concerté" avec M6 de n'en faire que 6. ce sera une saison de neuf fois 40 minutes, le même format que les séries américaines dont je suis fan. Les huit premiers épisodes racontent le passé d'Arthur, et le dernier met en place les évènements du film à venir. Les six saisons racontaient comment Arthur ramait pour rassembler deux-trois mecs capables de l'aider, le film se recentrera sur le Graal.

Pour tout lire et voir les photos, j'ai réussi à me faire offrir les pages du magazine : téléchargez la Page 1 et la Page 2.

jeudi 18 septembre 2008

Alexandre Astier au festival Tours-Métrages


« Je vous jure, mais comme ça, l'anguille ! »

Je n'ai pas trouvé grand-chose sur le festival Tours-Métrages qui se déroulait il y a deux semaines, et dont Alexandre Astier était le président.

Heureusement, au Royaume de Kaamelott, on veille ! Et ils ont trouvé une interview d'Alexandre par le quotidien régional La nouvelle république, faite avant le festival. Extraits :

Qu'est ce qui vous a convaincu de devenir le président de ce tout jeune festival de courts-métrages ?
En fait, je ne me suis pas trop posé la question de si j'acceptais ou pas. Quand on vous propose d'être président d'un jury, c'est que les gens veulent que vous mettiez un peu votre patte dans le jugement au-delà du côté un peu people. Une présidence de jury ne se refuse pas trop.

Quels conseils donneriez-vous aux jeunes réalisateurs en compétitions qui essaient de percer ?
Dans ce métier je ne crois pas aux bons élèves, je ne crois pas aux gens qui font ce qu'on leur demande, notamment quand c'est instigué par une chaîne de télévision ou un producteur de cinéma. Quand on invente des choses, qu'on est créatif, on ne peut pas suivre une commande. Raconter des histoires est un des plus beaux métiers du monde qui s'exerce avec impolitesse. Ce que vous avez à raconter il faut le raconter coûte que coûte, il faut le raconter comme vous avez envie de le raconter. Il faut se battre, être en conflit, être un mauvais élève, faire ce qu'on a dans le ventre.

Où en sont vos projets personnels ?
Là, je viens de finir la saison 6 de Kaamelott. Comme ce sera la dernière, on a fait les choses en grand en allant tourner à Cinecitta. Mais on va me retrouver dans une chose que je fabrique de A à Z au cinéma dans un projet qui n'est pas Kaamelott.

Nouvelle confirmation, donc, que Kaamelott ne sera pas le premier film d'Alexandre Astier. Vous pouvez lire l'intégralité de l'interview sur le site de La nouvelle république.

D'autres photos d'Alexandre Astier et du festival vu par l'oeil d'A2line tagada sur son blog.

jeudi 11 septembre 2008

En bref

Pas grand chose à croquer en ce moment... Et en cette période de rentrée, je n'ai pas eu beaucoup le temps de chercher profondément les infos... Voici donc un amas des dernières nouvelles :

Au rayon Alexandre Astier, le blog On en a gros a dégoté sur le site d'Historia une interview d'Alexandre Astier, à l'occasion de la diffusion de Kaamelott chez nos cousins pour la deuxième saison. C'est haché menu mais très sympathique à voir.

Alexandre Astier toujours, était président du festival Tours-Métrages qui s'est déroulé le week-end dernier. Mais aucune vidéo, ni aucune photo, ni aucune interview concernant le président n'est encore sortie sur internet...

Espérons qu'il n'en soit pas de même pour la conférence que tiendra Alexandre Astier à Rennes le 23 octobre à 18 heures aux Champs Libres de Rennes. Rencontre et débat autour du Roi Arthur, thème de l'exposition qui se tient au musée jusqu'en janvier. On peut d'ailleurs voir dans cette exposition un bocal à anchois en référence à Kaamelott !

Mise à jour du 18 octobre : D'après les informations de Kaamelottite, la conférence serait annulée.

Enfin, dernière chose à propos d'Alexandre Astier, sa participation au film Coluche d'Antoine de Caunes. On aperçoit un peu Alexandre dans la bande-annonce du film :

Passons à la télévision, mais restons chez les Astier. On en sait un peu plus sur la série Ligne de feu dans laquelle a tourné Lionnel Astier. TF1 a annoncé que la série allait être diffusée cette saison sur sa chaîne. En 8 épisodes de 52 minutes, voici le thème qui sera développé :
Ils sont sept. Sept pompiers professionnels. Six hommes, une femme, d'âges et de grades différents, tous unis pour combattre les flammes et porter secours.
Soldat du feu : plus qu'un métier, une vocation et un sacerdoce. Travailler ensemble, s'entraider, s'aimer, se déchirer sur le terrain et dans les coulisses de la caserne, voilà le quotidien de la brigade.
Nos héros flirtent avec l'extrême, côtoient l'horreur et les drames, comme les bonheurs les plus intenses. Faillibles ou invulnérables, lâches ou courageux, égoïstes ou solidaires, ils sont tout cela à la fois : des héros ordinaires qui vivent des situations extraordinaires.

Télévision encore : si vous n'avez pas acheté les DVD d'Off Prime, le groupe M6 vous a organisé une petite diffusion confidentielle ! C'est sur la chaîne câblée Téva, c'est 2 épisodes chaque samedi soir, c'est à 22h30, mais de quoi vous plaignez-vous, ils diffuseront aussi la saison 2 !

Enfin, vous avez peut-être été informé que la nouvelle saison de Titeuf débutait en cette rentrée ! Eh bien en passant, écoutez bien la voix de la petite Nadia, c'est Caroline Pascal (Démétra de Kaamelott) qui la lui prête ! Personnellement, j'ai écouté en tombant par hasard (si, si) sur Titeuf, et je ne l'ai absolument pas reconnue !

Toutes ces news ont été lues sur On en a gros, Kaamelottite, ou Le blog TV News.

lundi 4 août 2008

Alexandre Astier en interview dans Black Box (extrait)

La couverture de Black Box numéro 3

Les créateurs du magazine Black Box sont des mordus de jeux de rôles et, qui plus est, des lyonnais. C'est donc pour leur plus grand plaisir et le nôtre qu'ils ont eu l'opportunité d'interviewer Alexandre Astier, lui même lyonnais et roliste (amateur/joueur de jeux de rôles).

Dans le magazine, l'interview s'étale sur 4 pages ! Une interview qui semble prendre le temps de restituer ce qui a été dit, sans tailler les propos ou faire des raccourcis plus ou moins fidèles au discours de départ.

Le site SciFi Universe fait un point sur le magazine, mais surtout nous offre un alléchant avant-goût de l'interview d'Alexandre Astier ! Je ne vous propose pas d'extrait de l'extrait de l'interview, n'abusons pas, mais vous pouvez retrouver le fameux extrait sur ce lien (au format PDF).

Pour lire la suite de l'interview, mieux vaut avoir des amis mordus de jeux de rôles, car le magazine coûte quand même 6€90, et les 108 autres pages seront évidemment consacrées aux jeux de rôles ! Ou alors, c'est peut-être l'occasion de vous y mettre !

vendredi 11 juillet 2008

Astier et compagnie(s) au thêatre, en plein-air et en festivals

Quelques rappels et courtes infos...

Le spectacle La nuit des camisards, écrit par Lionnel Astier a commencé ses représentations en plein-air, qui dureront tout le mois de juillet à Saint-Jean du Gard. On en parlait sur cette note.

Aurélien Portehaut passe lui son mois de juillet sur les planches d'Avignon, avec la pièce Erendira, adaptation d'un recueil de nouvelles de Gabriel Garcia Marquez. La pièce est montée par la compagnie Premier Acte, avec laquelle Aurélien jouait récemment Don Quichotte Tome II. Tout ce que vous voulez savoir sur la pièce est sur le site officiel !

Merci à abalishard de Carmélide.net qui nous apprend qu'Alexandre Astier sera président du jury du festival de court-métrages Tours Métrages du 5 au 7 septembre. Vous devriez pouvoir le croiser tout le week-end, aux cérémonies d'ouverture et de clôture, et lors d'une rencontre-débat sur le thème du passage du film amateur au film professionnel. Le site du festival vous en parlera plus en profondeur.

Et puis si vous nous lisez depuis le Dauphiné, il ne vous reste que 2 jours pour faire un saut là ou Serge Papagalli conte la région !

lundi 7 juillet 2008

Kaamelott, Livre VII : jamais sur vos écrans !

Il n'y aura pas de Livre VII de Kaamelott. C'est officiel, arrêté, prononcé par Alexandre Astier et écrit dans Télé 7 jours !

J'avais dit que Kaamelott se composerait de 7 saisons à la télévision et de 3 longs-métrages, mais, en accord avec M6, j'ai décidé de m'arrêter avant pour passer plus vite au cinéma.

Plus vite, mais après qu'il aura réalisé Vinzia ! Le site internet du magazine Voici a bien compris l'ampleur des dégâts, et titre avec la sobriété qu'on lui reconnait "Le créateur de Kaamelott signe son arrêt de mort" !

On apprend dans l'article le retour de guests comme Bruno Salomone, Claire Nadeau et Virginie Efira, et la présence de Marthe Villalonga, qui jouera la maman de Perceval aux côtés de Jackie Berroyer.

Pierre Mondy, lui sera César, qui nommera Arthur Dux Bellorum pour dominer la Bretagne. Malheureusement, le nouveau Roi désobéira totalement à l'Empereur.

Côté coulisses, Alexandre Astier a perdu 8 kilos pour jouer son propre rôle 15 ans plus tôt, et Jean-Christophe Hembert en a perdu 11. Quant à Lionnel Astier 15 ans plus tôt, il ne portait pas des nattes, mais des dreadlocks.

Enfin, la diffusion est d'ors et déjà reculée au printemps 2009, et les 9 épisodes de 40 minutes nous seront jetés en pâture 3 par 3 ! Le dernier de ces épisodes promet une ouverture sur le film, et donc un suspense de... facile 3 ans.

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